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Selon un communiqué de presse rendu public à l’issue de ces rencontres, «cette initiative fructueuse découle d'une profonde prise de conscience de l'importance cruciale de la coordination de l’action commune entre les composantes de l'opposition au niveau du Parlement et du rehaussement de la coordination à des niveaux plus élevés et larges ».
Ils se sont engagés «à continuer à pratiquer une opposition nationale forte, responsable et constructive, sur la base du statut et des droits accordés par la Constitution à l'opposition, pour servir l'intérêt général », tout en exprimant leur fierté des initiatives de coordination qu'ils ont entreprises jusqu'à présent, ainsi que « leur détermination à accélérer le rythme de coordination étroite et efficace, et à passer à une étape plus élevée d'action commune au niveau du Parlement », et ce dans le but de défendre les intérêts des citoyens, de protéger le choix démocratique et de préserver le pluralisme politique.
Par ailleurs, les présidents des groupes et groupement de l’opposition ont appelé le gouvernement « à prendre le pouls de la société », notant «l'importance d'institutionnaliser le dialogue social » et soulignant « la nécessité de prendre des mesures tangibles et coordonnées pour respecter les priorités sociales de l’étape actuelle, protéger le pouvoir d'achat des citoyens et soutenir l'entreprise nationale confrontée à des risques de faillite».
Ils ont également appelé le gouvernement à assumer ses responsabilités et à exercer ses prérogatives «pour contrôler les prix, notamment ceux des carburants, et atténuer l'impact des fluctuations du marché international» sur le pouvoir d’achat des Marocains.
H. T