-
Cancer du col de l'utérus : Les Etats-Unis approuvent un outil de dépistage à domicile
-
Détention de Sansal: Ses filles "impuissantes" en République tchèque
-
Le président Trump s'émeut de la faim à Gaza, où Israël poursuit ses frappes meurtrières
-
L'Inde veut que le FMI cesse ses prêts au Pakistan : Islamabad dénonce un appel "désespéré"

Le vice-ministre iranien a également jeté un doute sur une avancée dans ces discussions en raison du "manque de confiance" actuel face aux représentants du “Groupe du 5"+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne). "Aucun accord qui ne comprendra pas l'enrichissement d'uranium du début à la fin ne sera accepté", écrit M. Araghchi sur son compte Twitter, cité par l'agence officielle Irna, alors que les discussions doivent reprendre dans la matinée.
"Le principe de l'enrichissement n'est pas négociable mais nous pouvons discuter du volume, du niveau et de l'endroit", a-t-il ajouté. Il a toutefois averti que l'Iran devait "retrouver confiance" dans la bonne foi des grandes puissances pour parvenir à un accord.
"Le principal obstacle est le manque de confiance à cause de ce qui s'est passé lors de la dernière réunion", a-t-il dit plus tard à la télévision d'Etat, en référence au durcissement du projet d'accord par le G5+1 au dernier jour des discussions lors du précédent round (7-9 novembre).
"Tant que la confiance n'est pas retrouvée, nous ne pourrons pas poursuivre des négociations constructives", a-t-il affirmé. "Tant qu'on n'a pas la certitude que les méthodes de négociations sont saines et peuvent donner des résultats, nous ne commencerons pas les négociations".
"Il y a des différences majeures. La chance existe pour qu'on puisse arriver à un accord d'ici demain (vendredi) mais c'est une tâche difficile",a souligné le négociateur, demandant au G5+1 "de la souplesse et de la bonne volonté".