Lors des Jeux olympiques de Nagano, en 1998, Hermann Maier s'élance dans la descente. Dans un virage, il perd le contrôle et ses skis font "un soleil". Projeté sur plus de cent mètres, il s'écrase contre les barrières de sécurité... et s'en sort indemne ! Trois jours plus tard, il décrochera même deux médailles d'or en super G et en slalom.
Mais pour Hermann Maier, l'histoire ne s'arrête pas là. En août 2001, il est victime d'un terrible accident de moto et passe tout près de l'amputation de la jambe. Après plusieurs mois de souffrance et de rééducation, il revient et s'offre l'argent en Super G aux JO de Turin en 2006 et le bronze en slalom géant.
Le ski alpin est extrêmement dangereux. En mars 2008, lors du super G de Kvitfjell, Matthias Lanziger perd l'équilibre après un saut et heurte une porte de plein fouet. Son ski gauche reste accroché à son pied, infligeant à sa jambe plusieurs rotations à 360°. Souffrant de complications vasculaires en plus d'une fracture du tibia-péroné, il est placé dans un coma artificiel. Après deux opérations, le sang ne circule toujours pas dans sa jambe ; les médecins doivent pratiquer une amputation au-dessous du genou.
Autre exemple, encore plus dramatique: le cas de Régine Cavagnoud. En 2001, la skieuse française heurte un entraîneur resté sur la piste, au cours d'une descente d'entraînement en Autriche. Elle décèdera 2 jours plus tard.
Mais pour Hermann Maier, l'histoire ne s'arrête pas là. En août 2001, il est victime d'un terrible accident de moto et passe tout près de l'amputation de la jambe. Après plusieurs mois de souffrance et de rééducation, il revient et s'offre l'argent en Super G aux JO de Turin en 2006 et le bronze en slalom géant.
Le ski alpin est extrêmement dangereux. En mars 2008, lors du super G de Kvitfjell, Matthias Lanziger perd l'équilibre après un saut et heurte une porte de plein fouet. Son ski gauche reste accroché à son pied, infligeant à sa jambe plusieurs rotations à 360°. Souffrant de complications vasculaires en plus d'une fracture du tibia-péroné, il est placé dans un coma artificiel. Après deux opérations, le sang ne circule toujours pas dans sa jambe ; les médecins doivent pratiquer une amputation au-dessous du genou.
Autre exemple, encore plus dramatique: le cas de Régine Cavagnoud. En 2001, la skieuse française heurte un entraîneur resté sur la piste, au cours d'une descente d'entraînement en Autriche. Elle décèdera 2 jours plus tard.
