-
L’opposition ittihadie vote contre le projet de loi 59.24 relatif à l’enseignement supérieur et la recherche scientifique
-
Vague de froid à Fès-Meknès : 4.952 familles bénéficient d'aides de la Fondation Mohammed V pour la solidarité
-
Mobilisation accrue pour désenclaver les zones montagneuses affectées par les chutes de neige à Taourirt
-
Un hôpital militaire de campagne à Tounfite au profit des populations affectées par le froid
Ces informations contenues dans les ordinateurs et documents saisis lors des opérations policières menées contre les cellules jihadistes et relayées ces derniers jours par le quotidien « El Pais », confirment que les jihadistes envisageaient de procéder à la séquestration de narcotrafiquants ou de cambistes dans les localités marocaines proches du préside occupé pour rançonner leurs familles et qu’ils avaient également l’intention d’en faire de même à Mellilia.
Cette stratégie, selon El Pais, qui est « inédite jusqu’à maintenant en Europe et au Nord de l’Afrique, est une source de préoccupation pour les services secrets, car elle constituerait une nouvelle donne dans l’activité terroriste internationale qui a été jusqu’à présent centrée sur le prosélytisme, le financement, le recrutement et l’envoi de jihadistes dans les zones de conflits ainsi que les attaques terroristes comme celles commises à Madrid en 2004 et à Londres en 2005». Par ailleurs, la police espagnole a mis sous surveillance quatre présumés jihadistes qui ont profité des avalanches de migrants sur les deux présides occupés pour entrer en Espagne. Il s’agirait, selon le même quotidien, d’un sympathisant des groupes jihadistes et de trois recruteurs pour le compte de l’EI.











