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La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Avec à bord le chef de file Adil Smaali au chant mais également au guembri et aux percussions, le groupe a mis à l'unisson les corps et les âmes au cours de ce concert où les notes de musique se sont entremêlées et l’alchimie a opéré pour entraîner petits et grands dans des rythmes envoûtants, au pied du fort de Hammamet, rapporte l’agence de presse tunisienne. Tout au long du concert, le jeune groupe a joué les derniers tubes de son dernier album "Houriya" dont "Salama","Houriya", "Le serpent qui danse", "Noir-orient" ainsi que d'autres chansons issues de son répertoire à l'instar de "Khalouni "et de "Dalali".
Avec du gnawa dans une parfaite fusion avec du rock, du world music teinté de jazz, le groupe a emporté le public dans de véritables moments de transe grâce à un univers musical mélodique, rebelle et spirituel, ce qui lui a valu une grande ovation de la part des milliers de spectateurs venus savourer gratuitement moments de musique et de danse. Fusionnant les musiques du Maghreb et du monde (raï, gnawa, hindoustani, balkanique…) avec les musiques actuelles et amplifiées (rock, dub, reggae, jazz, salsa…), c’est un message de paix, d’amour, de vivre-ensemble, de tolérance et de partage que le groupe "Aywa" apporte à travers une identité musicale singulière invitant au voyage en Méditerranée, en Afrique et sur la route du peuple gitan de l’Inde à l’Andalousie.









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