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Avoir un enfant sur le tard ne comporte pas que des risques pour la future maman. En utilisant des données de la National Health and Nutrition Examination Survey, des chercheurs ont découvert que celles qui sont devenues mères plus tard ont une meilleure espérance de vie que les femmes qui ont eu leur dernier enfant plus jeunes.
Les scientifiques ont découvert que les télomères leucocytes, qui protègent les brins d’ADN, durent plus longtemps chez les femmes ayant eu leur dernier enfant à la fin de leur trentaine comparé à celles dans leur vingtaine. De précédentes études ont suggéré qu’il y avait un lien entre la longévité des télomères et la diminution de maladies chroniques, comme les maladies cardiovasculaires, les diabètes et certains types de cancer. Une nouvelle étude plus importante et centrée sur plus de 1.200 femmes en préménopause et post-ménopause – de différentes ethnies et différents environnements sociaux – a été menée pour analyser les effets de la naissance du dernier enfant des femmes sur la longueur des télomères. Les chercheurs ont également pris en considération les facteurs socio-démographiques, comme l’éducation, la religion, le statut marital et la profession, liés aux décisions de santé et à la période de procréation.
L’étude a confirmé que les femmes ayant donné naissance à leur dernier enfant plus tard avaient tendance à avoir des télomères plus longs. Cependant, les effets positifs n’ont été relevés que chez les femmes ayant eu un ou deux enfants ou celles ayant utilisé une contraception orale. La Dr Stephanie Faubion, directrice médicale de la North American Menopause Society, a déclaré que de plus amples recherches doivent être effectuées sur le sujet.
Les scientifiques ont découvert que les télomères leucocytes, qui protègent les brins d’ADN, durent plus longtemps chez les femmes ayant eu leur dernier enfant à la fin de leur trentaine comparé à celles dans leur vingtaine. De précédentes études ont suggéré qu’il y avait un lien entre la longévité des télomères et la diminution de maladies chroniques, comme les maladies cardiovasculaires, les diabètes et certains types de cancer. Une nouvelle étude plus importante et centrée sur plus de 1.200 femmes en préménopause et post-ménopause – de différentes ethnies et différents environnements sociaux – a été menée pour analyser les effets de la naissance du dernier enfant des femmes sur la longueur des télomères. Les chercheurs ont également pris en considération les facteurs socio-démographiques, comme l’éducation, la religion, le statut marital et la profession, liés aux décisions de santé et à la période de procréation.
L’étude a confirmé que les femmes ayant donné naissance à leur dernier enfant plus tard avaient tendance à avoir des télomères plus longs. Cependant, les effets positifs n’ont été relevés que chez les femmes ayant eu un ou deux enfants ou celles ayant utilisé une contraception orale. La Dr Stephanie Faubion, directrice médicale de la North American Menopause Society, a déclaré que de plus amples recherches doivent être effectuées sur le sujet.