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Le chef des séparatistes a abordé les positions des pays arabes sur la question du Sahara marocain, affirmant qu’« une véritable solidarité arabe manquait au Polisario ».
La quasi-totalité des pays arabes et africains ont reconnu la crédibilité et le sérieux de l’initiative d’autonomie marocaine visant à mettre fin à ce conflit artificiel, surtout après que l’administration américaine l’a soutenue à l'époque du président Donald Trump. Tandis que la présidence américaine sous Joe Biden a considéré le Maroc comme un allié stratégique.
Certains observateurs ont estimé que cette déclaration défaitiste de Brahim Ghali pourrait signifier qu’il serait prêt à jeter l’éponge surtout après les guerres fratricides entre clans tribaux qui ont éclaté au grand jour dernièrement.
Le journal mauritanien « almarabiaa » qui a rapporté l’information souligne à cet égard : « Dans ce contexte, des confrontations tribales entre Ouled Moussa et Labouihat à Tindouf se sont étendues aux sièges administratifs et à certains magasins appartenant à des dirigeants du Polisario issus des deux tribus devant l’échec des miliciens de Brahim Ghali à contenir la colère des belligérants qui ont mis le feu au siège de la police dans le camp de «Smara» et ses annexes à «Ouessred» ».
La situation s’est envenimée davantage quand des dirigeants influents ont rejoint et soutenu les membres de leur tribu lors de ces incidents. C’est ainsi que des manifestants appartenant à la tribu d’Ouled Moussa ont attaqué et brûlé le chapiteau réservé à l’accueil d’étrangers dans le camp de «Smara». Désemparés par l’ampleur de cette révolte, les dirigeants du Polisario ont été contraints d’exfiltrer, en catastrophe, leurs invités pour les installer dans un lieu sécurisé au centre de Tindouf. Devenue incontrôlable, cette situation a poussé la direction du Polisario à demander du renfort au général algérien Mustapha Ismaili. Ainsi, des forces spéciales algériennes ont été dépêchées sur les lieux pour mettre fin aux protestations.







