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En effet, les médecins spécialistes diplômés en juillet 2014 et qui exercent depuis leurs fonctions de manière normale dans les CHU des deux villes en question ne refusent pas d’être affectés, même dans les zones les plus enclavées du pays, considérant cela comme un devoir national, mais exigent que cette affectation soit faite dans la légalité et l’équité.
Pour défendre leur cause, les médecins spécialistes de Marrakech et Fès expriment leur incompréhension face à une situation aussi discriminatoire arguant qu’il est absurde d’être affecté maintenant une première fois de manière provisoire et de devoir se soumettre à une deuxième affectation, dans pratiquement six mois, quand leurs confrères de Casablanca et Rabat auront passé leur DSM (Diplôme de spécialité médicale).
C’est dans cet esprit que la commission nationale des médecins internes et des résidants demande à ce que les affectations soient faites de manière équitable entre tous les diplômés des quatre facultés de médecine du Royaume, loin de toutes considérations syndicales, et que les dates des examens du DSM soient les mêmes pour tous.