
-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Une période trouble qui aura laissé des cicatrices même chez ce couple qui s'est pourtant aimé en temps de guerre. Alors qu'Amal insiste pour retourner en France en vue d'assurer un avenir meilleur pour son fils unique, Samir préfère rester en Algérie et travailler dans son cabinet. Un conflit qui impacte également leur fils "Fahim" qui tentera de trouver du réconfort dans la rue, en compagnie d'amis qui ne veulent pas toujours son bien. A travers "Les bienheureux", la réalisatrice a mis en lumière les malheurs des gens empêtrés dans leurs contradictions qui se font ressentir dans leur comportement et le conflit des générations. Les méandres d'une vie où la misère finit par prendre le dessus en parfaite contradiction avec le titre du film. Il s'agit du premier long-métrage de Sofia Djama Bendjebbar qui a réalisé une série de courts-métrages avec, entre autres "Mollement un samedi matin" et "Les cent pas de Monsieur x" (2011). "Les bienheureux" (102 min) est en compétition avec 14 autres films africains produits entre 2017 et 2018 pour tenter de décrocher le Grand prix ''Ousmane Sembène'' dans le cadre de la 21è édition du FCAK organisée sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.