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Une étude britannique publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, concernant 500 espèces de mammifères, fossiles et actuelles, montre que le cerveau des animaux dits "sociaux" s'est davantage développé que celui des espèces solitaires.
Des chercheurs de l'université d'Oxford ont tracé la courbe de l'évolution du cerveau de 500 espèces de mammifères depuis 60 millions d'années. Résultat : il y aurait un fort lien entre leur taille (relative, donc par rapport à la taille totale du corps) et le degré de sociabilité de l'animal. Baleines, dauphins, humains... les animaux sociaux ont plus de matière grise que les félins ou les rhinocéros, généralement plus solitaires.
Et le contact de l'homme n'y change rien puisque chiens et chevaux, animaux grégaires, ont un cerveau proportionnellement plus gros que celui des chats. Au cours de l'évolution, ce sont respectivement les encéphales des singes, puis ceux des chevaux, des dauphins, des chameaux et des chiens qui ont le plus grandi.
La vie dans un groupe - surtout s'il est stable -, la socialisation et la coopération requièrent plus de ressources cérébrales qu'une existence solitaire, concluent les chercheurs. En clair, se socialiser fait des merveilles, c'est la science qui le dit.
Des chercheurs de l'université d'Oxford ont tracé la courbe de l'évolution du cerveau de 500 espèces de mammifères depuis 60 millions d'années. Résultat : il y aurait un fort lien entre leur taille (relative, donc par rapport à la taille totale du corps) et le degré de sociabilité de l'animal. Baleines, dauphins, humains... les animaux sociaux ont plus de matière grise que les félins ou les rhinocéros, généralement plus solitaires.
Et le contact de l'homme n'y change rien puisque chiens et chevaux, animaux grégaires, ont un cerveau proportionnellement plus gros que celui des chats. Au cours de l'évolution, ce sont respectivement les encéphales des singes, puis ceux des chevaux, des dauphins, des chameaux et des chiens qui ont le plus grandi.
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