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Cependant, souligne-t-il, la Maison blanche voudrait que les élus tiennent compte du progrès des négociations dans l’étude d’éventuelles nouvelles sanctions.
Ainsi jeudi, la Maison blanche a accueilli une réunion de conseillers des sénateurs dans l’objectif de persuader les élus de s’abstenir sur un nouveau train de sanctions contre l’Iran, a indiqué un assistant parlementaire au Sénat.
“Nous n’envisageons rien qui supprime ces sanctions au tout début d’une négociation ou d’un accord, parce qu’il va être important de tester les intentions iraniennes”, a déclaré à Reuters Ben Rhodes, conseiller adjoint à la sécurité nationale, lors d’une manifestation organisée par Reuters dans ses bureaux à Washington.
“Avant de pouvoir rechercher un allégement des sanctions, il faudra que nous puissions voir des mesures concrètes de la part des Iraniens” relatives à leur programme nucléaire, a-t-il ajouté.
Ben Rhodes explique qu’une façon d’alléger les sanctions pourrait être de donner accès à l’Iran à ses avoirs financiers gelés, comme l’a indiqué le New York Times le 17 octobre.
Les exportations iraniennes de pétrole ont été réduites de moitié sur un an au fur et à mesure de l’imposition de sanctions de plus en plus strictes par les Etats-Unis, inquiets du programme nucléaire de Téhéran, considéré comme une menace directe pour Israël et ses alliés arabes du Golfe. Les négociations entre l’Iran et le groupe P5+1 constitué des membres permanents du Conseil de sécurité de l’Onu et de l’Allemagne doivent reprendre les 7 et 8 novembre à Genève.