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Interrogé sur les révélations par des médias évoquant des activités de collecte de renseignement par l'Agence de sécurité nationale américain (NSA),M.Nesirky a expliqué "en août, lorsque ces rapports sont sortis, les Nations Unies avaient fait savoir qu'elles contacteraient les autorités compétentes".
"Le secrétariat de l'ONU a en effet contacté les autorités américaines",a-t-il indiqué.
L'inviolabilité des missions diplomatiques, y compris celles des Nations unies, est bien établie par le droit international. Tous les Etats membres se doivent donc d'agir en conséquence", a précisé le porte-parole.
La Maison Blanche fait face à une vague de critiques pour les pratiques de surveillance de la NSA, depuis les premières révélations d'un de ses anciens agents, Edward J. Snowden, en juin. Pourtant, ces dernières semaines, le gouvernement américain s'est efforcé d'étouffer une nouvelle tempête diplomatique au sujet des révélations selon lesquelles l'agence de renseignement américaine a surveillé le téléphone portable de la chancelière allemande Angela Merkel pendant plus d'une décennie. Le Brésil, la France et l'Espagne ont également exprimé leur indignation concernant l'espionnage de leurs dirigeants par les Etats-Unis. Le scandale d'espionnage a provoqué des tensions dans les relations entre Washington et certains de ses alliés les plus importants. Par ailleurs, le Pape François aurait été parmi les leaders mondiaux espionnés par l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine, rapporte l'hebdomadaire italien '¨Panorama'' dans son édition de mercredi. Parmi les 46 millions de communications téléphoniques interceptées en Italie, par la NSA, entre le 10 décembre 2012 et le 8 janvier dernier, figurent notamment les appels effectués de et vers le Vatican, ajoute la publication, faisant observer qu' ''on craint que les conversations sur les décisions du conclave (mars dernier: ndlr) aient été également interceptées''.