
-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
La communauté marocaine résidant à l'étranger compte de nombreux talents artistiques et cinématographiques, ont souligné les participants, notant que le cinéma demeure un langage universel qui transcende les appartenances géographiques et les frontières et met en relation les peuples de différentes origines.
Le cinéma n'est plus un art qui requiert des compétences et techniques personnelles, mais c'est plutôt une industrie à part entière qui nécessite des budgets souvent faramineux, ont-ils relevé, mettant l'accent dans ce sens sur les contraintes inhérentes à la production et à la distribution des films, dont notamment la recrudescence du phénomène de la fermeture des salles de cinéma.
Il est vrai que les nouvelles technologies ont mis à la disposition des cinéastes d'énormes moyens et outils de tournage et de montage, mais le problème réside dans l'abandon des salles de cinéma par le public, ont-ils fait remarquer, appelant dans ce sens à déployer davantage d’efforts pour fidéliser les cinéphiles en inculquant la culture du 7ème art à la jeunesse.
Ont pris part à cette conférence, tenue sous le thème "Les Marocains du monde et les productions cinématographiques", plusieurs figures du cinéma marocain dont Younès Lahri, Mourad Boussif, Abdelkebir Regagna et Abdlehay Iraki.
Organisée par l’Association solidarité pour le développement et l’immigration, le Festival méditerranéen Cinéma et immigration (26-30 septembre) s’inscrit dans le cadre des activités culturelles célébrant l’événement "Oujda capitale de la culture arabe pour l’année 2018".