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C'est vrai au Burkina, au Mali et partout en Afrique", s'indigne le réalisateur, faisant allusion à la montée du jihadisme dans son pays depuis plusieurs années. Ce seront finalement des jeunes marginalisés par la communauté, qui tentent de s'en sortir en pratiquant la récupération - d'où leur surnom de "charognards" - qui permettront, enfin, à la dépouille d'être inhumée dignement.
"Duga" est en lice, parmi 20 longs métrages de fiction, pour décrocher l'Etalon d'or de Yennenga, la "palme d'or africaine", et succéder à "Félicité", du Sénégalais Alain Gomis, primé en 2017 au festival qui se déroule tous les deux ans. Il serait le premier réalisateur burkinabè primé à Ouagadougou depuis plus de 20 ans, après Gaston Kabore pour son film "Buud Yam" en 1997. Au total 165 films de 16 pays africains concourent pendant les huit jours du festival, du 23 février au 2 mars, dans les différentes sections, courts métrages, documentaires, séries télé, films d'animation, ainsi que films d'écoles africaines de cinéma.








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