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Le roman est un miroir qui reflète la civilisation et le développement des peuples, ont estimé, mardi à Casablanca, les participants à une conférence organisée en marge de la 24ème édition du Salon international de l’édition et du Livre (SIEL).
Lors de cette conférence-débat sur l’expérience romancière en Egypte et au Maroc, les participants ont noté l’existence d’un dialogue implicite entre les romanciers et les nouvellistes comparable à un métissage qui incarne les spécificités de l’Homme et du roman arabes. Le roman, qui se veut la voix/voie d’expression de l’individu dans le monde, notamment depuis le 18ème siècle et les révolutions européennes, s’intéresse explicitement aux relations entre l’individu et la société et aux relations tierces, ont-ils souligné.
S’agissant de la relation entre la littérature marocaine et égyptienne dans son volet lié au roman, les conférenciers ont relevé que la production égyptienne s’est distinguée dans le monde arabe et a pris, à l’instar du roman syrien et irakien, de l’ampleur, contrairement au roman marocain qui reste relativement jeune.
Les générations d’auteurs se renouvellent continuellement en Egypte, ce qui permet d’ancrer la pratique littéraire bien que ces auteurs n’arrivent pas toujours à percer au niveau du monde arabe, ont-ils indiqué, relevant un climat favorable à la production littéraire en Egypte tant au niveau des maisons d’édition qu’au niveau des manifestations culturelles.
En ce qui concerne l’expérience marocaine, dont les débuts remontent à 1947 avec la parution du roman “Az-zaouia” de Touhami El Ouazzani, ils ont estimé qu’elle a réalisé, durant les 20 dernières années, une avancée remarquable, en particulier au niveau de l’édition et de la distribution.
Par ailleurs, les participants ont estimé que la mondialisation et les progrès technologiques ont fait de la réussite des romans une réalisation tributaire des ventes réalisées nonobstant de la profondeur des sujets traités, appelant à encourager les jeunes à être plus créatifs et sélectifs dans le traitement des sujets.
Lors de cette conférence-débat sur l’expérience romancière en Egypte et au Maroc, les participants ont noté l’existence d’un dialogue implicite entre les romanciers et les nouvellistes comparable à un métissage qui incarne les spécificités de l’Homme et du roman arabes. Le roman, qui se veut la voix/voie d’expression de l’individu dans le monde, notamment depuis le 18ème siècle et les révolutions européennes, s’intéresse explicitement aux relations entre l’individu et la société et aux relations tierces, ont-ils souligné.
S’agissant de la relation entre la littérature marocaine et égyptienne dans son volet lié au roman, les conférenciers ont relevé que la production égyptienne s’est distinguée dans le monde arabe et a pris, à l’instar du roman syrien et irakien, de l’ampleur, contrairement au roman marocain qui reste relativement jeune.
Les générations d’auteurs se renouvellent continuellement en Egypte, ce qui permet d’ancrer la pratique littéraire bien que ces auteurs n’arrivent pas toujours à percer au niveau du monde arabe, ont-ils indiqué, relevant un climat favorable à la production littéraire en Egypte tant au niveau des maisons d’édition qu’au niveau des manifestations culturelles.
En ce qui concerne l’expérience marocaine, dont les débuts remontent à 1947 avec la parution du roman “Az-zaouia” de Touhami El Ouazzani, ils ont estimé qu’elle a réalisé, durant les 20 dernières années, une avancée remarquable, en particulier au niveau de l’édition et de la distribution.
Par ailleurs, les participants ont estimé que la mondialisation et les progrès technologiques ont fait de la réussite des romans une réalisation tributaire des ventes réalisées nonobstant de la profondeur des sujets traités, appelant à encourager les jeunes à être plus créatifs et sélectifs dans le traitement des sujets.