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L'opération Serval, lancée le 11 janvier pour repousser des groupes islamistes armés qui menaçaient la capitale malienne Bamako, mobilise 4.000 soldats français sur le terrain. Quatre militaires français ont déjà été tués depuis le début des opérations et une trentaine ont été rapatriés jeudi en France après avoir été victimes de blessures qualifiées de légères. L'armée française a accompli une grande partie du travail mais il reste encore deux poches à sécuriser, a fait valoir Jean-Yves Le Drian.
Les forces franco-tchadiennes mènent depuis plusieurs semaines une offensive dans la vallée d'Ametettai, au coeur du massif des Ifoghas, considéré comme un bastion des groupes islamistes armés, dont Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Paris n’a toujours pas pas confirmé la mort des chefs djihadistes Mokhtar Belmokhtar et Abou Zeïd, dont le décès a été annoncé par les autorités tchadiennes.
Concernant le djihadiste français présumé, arrêté en novembre au Mali et expulsé mardi vers la France, il s'agirait d'un homme qui était "recherché par les services de police qui a été retrouvé par la police malienne", a précisé le ministre de la Défense.
Les autorités françaises estiment qu'une dizaine de djihadistes français ou franco-africains sont partis au Sahel pour rejoindre des combattants islamistes.
Plusieurs ont été arrêtés dans la bande sahélienne ces derniers mois, notamment Cédric Labo Ngoyi Bungenda, un Franco-Congolais de 27 ans, interpellé en août 2012 par la police nigérienne.
Jean-Yves Le Drian a assuré vendredi que le nombre de djihadistes français ayant rejoint les rangs des combattants islamistes au Mali était relativement réduit.