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Joao Valdés Almeida a insisté sur le rejet de l’organisation européenne des provocations répétées du Polisario et ses mouvements dans la zone tampon à l’est du Mur de protection, en vue de modifier la situation qui y prévaut et de peupler cette zone, en violation des accords de 1991 et menaçant la paix et la stabilité dans la sous-région.
Seulement le Polisario ne semble pas l’entendre de cette oreille. En effet, selon des observateurs, l’Algérie voudrait déplacer les habitants des camps ou du moins, une partie de ces habitants vers la zone tampon que le Polisario désigne comme territoire libéré. Ces observateurs pensent que cette hypothèse serait valable, en tout cas pour les habitants du camp « Dakhla » qui se trouve à proximité des mines de fer de Djbeila que les autorités algériennes envisageraient d’exploiter.
Ainsi, les habitants iraient s’installer à Bir Lahlou où le Polisario serait sur le point d’ériger la capitale de sa république imaginaire faisant d’une pierre deux coups : libérer la zone minière algérienne et mettre la communauté internationale devant le fait accompli en occupant la zone tampon.
A.E.K.