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La répartition des contributions au financement de cette banque, censée devenir une alternative à la Banque mondiale, est depuis un sujet de désaccord entre les cinq grands membres du groupe, le Brésil, la Chine, l'Inde, la Russie et l'Afrique du Sud.
Des responsables ont expliqué que la banque devrait être dotée d'un capital initial équivalant à 50 milliards de dollars (39 milliards d'euros). Mais le désaccord porte sur la répartition de cette somme, certains penchant pour que chacun des BRICS apporte 10 milliards de dollars, d'autres pour une répartition variant selon leurs poids économiques respectifs.
L'économie chinoise représente environ 20 fois celle de l'Afrique du Sud et quatre fois celle de l'Inde ou de la Russie.
Les cinq pays des BRICS représentent 20% environ de l'économie mondiale, un poids qui augmente rapidement, tout comme leur importance géopolitique dans leurs régions respectives, mais ils peinent encore à convertir cette dynamique économique en un véritable élan politique commun. A Durban, les deux principales économies du groupe, la Chine et le Brésil, ont marqué leur détermination à faire évoluer l'architecture financière et commerciale mondiale en signant un accord sur trois ans couvrant jusqu'à 30 milliards de dollars (23,4 milliards d'euros) d'échanges bilatéraux.