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La médecine ouvrira le bal (3 octobre), suivie par la chimie (le 4), la physique (le 5), la paix (le 7), et l'économie (le 10). "Il ne faut y voir aucun signe de désaccord entre académiciens. La réalité est plus simple: nos statuts prévoient que nous nous réunissions quatre jeudis de suite à partir de l'avant-dernier jeudi de septembre avant d'annoncer le lauréat", a expliqué à l'AFP l'académicien Pär Wästberg.
"C'est arithmétique", a-t-il ajouté, soulignant avec malice: "Cela laisse encore un peu de temps pour spéculer" sur l'identité du lauréat. Le vote formel départageant les cinq derniers auteurs retenus n'intervient qu'au cours de l'ultime réunion, quelques heures avant l'annonce officielle. Cette année encore, tout pronostic est hasardeux.
Le romancier japonais Haruki Murakami jouit de la meilleure cote chez les parieurs. Le poète syrien Adonis et le romancier kényan Ngugi wa Thiong'o sont cités aux côtés d'auteurs américains mondialement célèbres comme Don DeLillo, Philip Roth et Joyce Carol Oates. On pense aussi au Britannique Salman Rushdie, à l'Albanais Ismail Kadaré, au Français Milan Kundera et au dramaturge norvégien Jon Fosse. En 2015, la Bélarusse Svetlana Alexievitch, favorite des parieurs, avait succédé à Patrick Modiano, lauréat très inattendu.