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Dans une analyse intitulée "Vers la fin du conflit du Sahara", le think tank assure que la reconnaissance par des puissances mondiales influentes, notamment les Etats-Unis, de la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud, représente "un tournant diplomatique majeur" sur la voie d’un règlement de ce différend régional.
Le centre de réflexion relève que l’autonomie sous souveraineté marocaine constitue "la seule option politiquement et juridiquement viable" pour parvenir à une solution à la question du Sahara, notant que le plan d’autonomie bénéficie d’un appui international croissant et s’aligne parfaitement sur les paramètres définis par les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU.
L’Institut met également en exergue les efforts diplomatiques déployés par le Maroc pour le règlement de cette question qui devra constituer un levier fondamental pour la consolidation de la stabilité dans la région du Sahel, confrontée à de multiples menaces sécuritaires.
L’Institut fait observer que la conjoncture géopolitique actuelle, marquée par des enjeux de sécurité transfrontalière, place le Maroc dans une position "de pivot régional essentiel", capable de jouer un rôle central dans les politiques de stabilisation et de développement durable du continent.
A l’approche du 50e anniversaire de la Marche Verte, "toutes les conditions semblent réunies pour faire avancer de manière décisive le dossier du Sahara", sur la base du plan marocain d’autonomie, au service de la paix, de la sécurité régionale et de la prospérité en Afrique du Nord et au Sahel, conclut le think tank espagnol.