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Ces 26 années, selon l’USFP, ont été une étape décisive dans le renforcement de la souveraineté, sur la base du plan d’autonomie, qui représente bien plus qu’une simple proposition diplomatique pour résoudre un conflit artificiel. Il constitue en réalité le seuil d’une révolution territoriale, politique et géostratégique pour l’ensemble de la régionC’est également un moment de bilan, de réflexion sur les réalisations accomplies à tous les niveaux, en lien avec les fondements de l’Etat marocain : peuple, territoire et souveraineté.
Sur le premier plan, celui de l’humain, SM le Roi Mohammed VI a placé l’édification de l’Etat social, la réduction des inégalités, l’amélioration des conditions de vie, le partage équitable des richesses au cœur d’une action consciente et volontaire face à l’insuffisance sociale qui caractérisait le pays au début de Son règne.
SM le Roi a su élaborer un modèle marocain, fondé sur un large consensus au sein du peuple et ses forces vives, en s’appuyant sur les réalités du terrain et les aspirations nationales. Ce processus a fini par donner naissance à un nouveau modèle de développement, après que l’ancien a perdu sa raison d’être.
Pour l’Union socialiste des forces populaires, qui a joué un rôle central dans ce processus, les réalisations sociales du Souverain reflètent profondément son propre héritage. Une partie de ses revendications, programmes et aspirations est devenue aujourd’hui partie intégrante des convictions fondamentales de l’Etat marocain, tant sur le plan social que démocratique.
Ce sont 26 années de réformes ancrées durablement et irréversiblement dans la scène nationale.
Toujours en ce qui concerne les acquis sociaux et démocratiques du peuple marocain, SM le Roi a réussi à forger un large consensus, émanant d’un véritable élan vers l’avenir, autour des grandes questions du pays, notamment celles à dimension réformatrice, qu’il s’agisse de la Constitution, de l’amélioration du processus décisionnel, de la transformation de la nature de l’Etat, ou encore du renforcement de la participation des forces vives de la nation.
La Monarchie a su mobiliser toutes les composantes nationales pour élaborer un modèle de développement et de réforme, gérer les points de divergence, du sport aux grandes industries, en passant par l’édification de l’Etat social, l’adoption de critères de développement équitable et de justice spatiale, ou encore l’élaboration de politiques basées sur la vérité, avec une vision à moyen et long termes.
S’agissant de la Cause nationale, le Maroc a accompli des avancées considérables dans la consolidation de son intégrité territoriale. En témoignent le large consensus international autour de la légitimité nationale, l’appui d’influents pays africains à la position marocaine et le changement des paramètres de la résolution du conflit en faveur du droit et de la légalité, dépassant la falsification des réalités de l’histoire et de la géographie longtemps entretenue autour du dossier de notre intégrité territoriale.
Les propos du Souverain faisant du Sahara le «prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international» ont joué un rôle décisif dans le renversement des positions et permis une gestion stratégique du dossier, que SM le Roi a menée avec une diplomatie sereine, confiante et profonde, réussissant à construire une large alliance internationale à ce sujet.
Les combats du Maroc n’ont jamais été un prétexte pour retarder le développement, freiner le processus démocratique ou repousser les chantiers internes. Le Sahara a été, au contraire, un moteur et un catalyseur humain, politique et historique pour se projeter vers l’avenir, en proposant de partager ses avancées avec ses partenaires africains et autres.
Les murs que le Maroc a construits, en l’occurrence le mur sécuritaire, le mur diplomatique et le mur de développement, ont joué un rôle fondamental dans la mise en place d’un modèle marocain stratégique d’exercice de la souveraineté, en tant que troisième pilier de la définition de l’Etat marocain moderne.
Ces 26 années, selon l’USFP, ont été une étape décisive dans le renforcement de la souveraineté, sur la base du plan d’autonomie, qui représente bien plus qu’une simple proposition diplomatique pour résoudre un conflit artificiel. Il constitue en réalité le seuil d’une révolution territoriale, politique et géostratégique pour l’ensemble de la région.