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« Ouverture, partage et tolérance» résument l’histoire et la diversité culturelle marocaine mises en exergue par le Festival national Fazaz du patrimoine amazigh organisé récemment à Imouzzer Kandar dans la province de Sefrou.
Cette quatrième édition dédiée à feu Mohamed Rouicha a été marquée par la participation d’André Azoulay, conseiller du Souverain et président-fondateur de l’Association Essaouira-Mogador.
«Le Maroc est un vieux pays qui a une grande civilisation, qui a le talent et la détermination de ne pas laisser de côté tous ceux qui ont nourri, enrichi, conforté et fait progresser la nation et le peuple marocains», a souligné M. Azoulay lors d’une intervention à l’occasion.
«Toutes ces civilisations qui ont fait souche chez nous forment aujourd’hui cet ADN singulier, mais tellement exaltant, celui du peuple marocain, du Maroc, d’un pays qui exprime et démontre sa résilience de façon permanente, quotidienne, régulière en faisant entendre sa voix au cœur de l’Islam, au cœur de l’Afrique du Nord, celle de la raison», a ajouté le conseiller du Souverain qui a mis en avant l’importance de cette manifestation artistique et culturelle.
«La valorisation du patrimoine national amazigh et son intégration dans le développement socioéconomique de la région constituent une responsabilité commune», a tenu à préciser Noureddine Oulaabass, directeur du festival initié par les Associations «Assourif pour la culture populaire» et «Fès-Meknès pour le développement de l’Atlas», sous le thème «Tous pour la diffusion des valeurs de tolérance et de paix ».
Spectacles de fantasia et du patrimoine musical du Grand Atlas ont rythmé la ville d’Imouzzer Kandar le temps du festival.
Abdellah Ouzitane, président fondateur du Centre d’études et de recherches sur le droit hébraïque au Maroc, a mis en exergue le rôle déterminant du Royaume pour la paix et dans la prise des décisions constructives tant sur la scène régionale qu’internationale. Selon ce professeur à l’Université de Bordeaux, « le Maroc est un réconfort pour ce monde si fragile. Le Royaume a su sauvegarder sa culture authentique et l’art du vivre-ensemble. Cette exception marocaine témoigne des valeurs les plus profondes et de l’enracinement de notre civilisation ».
Selon les organisateurs du festival qui a tenu toutes ses promesses, un message de paix est envoyé depuis Imouzzer Kandar au monde entier afin que cette réalité marocaine, qui est le fruit et l’héritage de notre histoire si profonde, soit entendue et partagée.
Pour Farid El Bacha, président exécutif du Centre d’études et de recherches sur le droit hébraïque au Maroc, «c’est une occasion en plus pour enrichir davantage nos sensibilités dans un Maroc tourné vers la modernité, un Royaume riche de sa diversité et de sa culture ancrées dans une histoire millénaire ».
Cette quatrième édition dédiée à feu Mohamed Rouicha a été marquée par la participation d’André Azoulay, conseiller du Souverain et président-fondateur de l’Association Essaouira-Mogador.
«Le Maroc est un vieux pays qui a une grande civilisation, qui a le talent et la détermination de ne pas laisser de côté tous ceux qui ont nourri, enrichi, conforté et fait progresser la nation et le peuple marocains», a souligné M. Azoulay lors d’une intervention à l’occasion.
«Toutes ces civilisations qui ont fait souche chez nous forment aujourd’hui cet ADN singulier, mais tellement exaltant, celui du peuple marocain, du Maroc, d’un pays qui exprime et démontre sa résilience de façon permanente, quotidienne, régulière en faisant entendre sa voix au cœur de l’Islam, au cœur de l’Afrique du Nord, celle de la raison», a ajouté le conseiller du Souverain qui a mis en avant l’importance de cette manifestation artistique et culturelle.
«La valorisation du patrimoine national amazigh et son intégration dans le développement socioéconomique de la région constituent une responsabilité commune», a tenu à préciser Noureddine Oulaabass, directeur du festival initié par les Associations «Assourif pour la culture populaire» et «Fès-Meknès pour le développement de l’Atlas», sous le thème «Tous pour la diffusion des valeurs de tolérance et de paix ».
Spectacles de fantasia et du patrimoine musical du Grand Atlas ont rythmé la ville d’Imouzzer Kandar le temps du festival.
Abdellah Ouzitane, président fondateur du Centre d’études et de recherches sur le droit hébraïque au Maroc, a mis en exergue le rôle déterminant du Royaume pour la paix et dans la prise des décisions constructives tant sur la scène régionale qu’internationale. Selon ce professeur à l’Université de Bordeaux, « le Maroc est un réconfort pour ce monde si fragile. Le Royaume a su sauvegarder sa culture authentique et l’art du vivre-ensemble. Cette exception marocaine témoigne des valeurs les plus profondes et de l’enracinement de notre civilisation ».
Selon les organisateurs du festival qui a tenu toutes ses promesses, un message de paix est envoyé depuis Imouzzer Kandar au monde entier afin que cette réalité marocaine, qui est le fruit et l’héritage de notre histoire si profonde, soit entendue et partagée.
Pour Farid El Bacha, président exécutif du Centre d’études et de recherches sur le droit hébraïque au Maroc, «c’est une occasion en plus pour enrichir davantage nos sensibilités dans un Maroc tourné vers la modernité, un Royaume riche de sa diversité et de sa culture ancrées dans une histoire millénaire ».