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«Le micro se libère » est le titre choisi par l’homme de média Ahmed Aloua pour son dernier opus qui sera présenté au Salon international du livre de Casablanca. C’est le premier livre du genre qui traite de la libéralisation du paysage audiovisuel marocain dans son volet radiophonique. Un témoignage de l’intérieur du monde des ondes, écrit par un professionnel qui cumule près de deux décennies de journalisme radio. Un travail, fruit d’une double expérience puisque son auteur a entamé sa carrière à la Radio nationale publique avant de s’investir dans le processus de libéralisation des radios et le lancement des premières stations radiophoniques privées en 2006.
Dans cet écrit (80 pages, format moyen, maison Edisoft ) Aloua relate une expérience riche et nous offre le témoignage d’un professionnel sur la Radio nationale ‘’vénérable et fermée sur elle-même’’ et sur la ‘’ révolte et la libération des radios privées’’. ‘’C’est une expérience sans pareil et intéressante à plus d’un titre. Car la distance, entre un monde marqué par le règne de la radio unique et celui de la multiplicité des radios, regorge de moult détails, de moments forts et d’autres frustrants. Instants qui ne peuvent être perçus, saisis et relatés que par quelqu’un qui a été au fait des deux expériences’’, peut-on lire dans la 4ème de couverture de ce livre jalonné de 12 ‘’Stations’’ de l’histoire de la libéralisation des radios. Dans ces ‘’arrêts-témoignages ‘’ l’auteur traite du début de son parcours à regard vérificateur de la HACA, en passant par l’émergence des premières générations des professionnels des radios privées et celles des femmes ou encore l’évolution technologique qu’a connue le secteur avec le remplacement de la pesante Nagra et ses bobines par la fine Netia et ses puces électroniques.
Né en 1971 à Casablanca, Ahmed Aloua en plus de son travail au sein des radios, a collaboré avec plusieurs publications quotidiennes et périodiques. Il est également auteur d’une œuvre littéraire publiée en 2004 sous le titre «L’homme qui gardait la mer».
Dans cet écrit (80 pages, format moyen, maison Edisoft ) Aloua relate une expérience riche et nous offre le témoignage d’un professionnel sur la Radio nationale ‘’vénérable et fermée sur elle-même’’ et sur la ‘’ révolte et la libération des radios privées’’. ‘’C’est une expérience sans pareil et intéressante à plus d’un titre. Car la distance, entre un monde marqué par le règne de la radio unique et celui de la multiplicité des radios, regorge de moult détails, de moments forts et d’autres frustrants. Instants qui ne peuvent être perçus, saisis et relatés que par quelqu’un qui a été au fait des deux expériences’’, peut-on lire dans la 4ème de couverture de ce livre jalonné de 12 ‘’Stations’’ de l’histoire de la libéralisation des radios. Dans ces ‘’arrêts-témoignages ‘’ l’auteur traite du début de son parcours à regard vérificateur de la HACA, en passant par l’émergence des premières générations des professionnels des radios privées et celles des femmes ou encore l’évolution technologique qu’a connue le secteur avec le remplacement de la pesante Nagra et ses bobines par la fine Netia et ses puces électroniques.
Né en 1971 à Casablanca, Ahmed Aloua en plus de son travail au sein des radios, a collaboré avec plusieurs publications quotidiennes et périodiques. Il est également auteur d’une œuvre littéraire publiée en 2004 sous le titre «L’homme qui gardait la mer».