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Le jury, présidé par le réalisateur néerlandais Koert Davidsé, a accordé le prix spécial du jury au film iranien « Malaria », de Parviz Shahbazi, alors qu’il a distingué le film burkinabé «Tant qu’on vit» du réalisateur Dany Kouaté, en lui accordant le prix du meilleur scénario.
Pour ce qui est du meilleur rôle féminin, il est revenu à Myriam Boubani, pour son rôle dans le film iranien «La tempête noire», de Hussein Hassan.
Réalisé par Vinod Capri, le film indien couronné raconte l’histoire de la jeune Pihu qui, à la première heure du matin, essaie de réveiller sa mère qui ne répond pas. En sortant, elle explore l’appartement spacieux, encore en désordre après la fête d’anniversaire de la nuit précédente. Pour assouvir sa faim, elle monte et descend les escaliers, cherche de la nourriture, et essaie d’utiliser le réfrigérateur, le micro-onde et la poêle.
Toutefois, son pain grillé brûle alors qu’elle se distrait de temps en temps de ses corvées par des appels téléphoniques nerveux de son père, hors de la ville, et qui souhaite parler à sa femme. En suivant les séquences, le suspense s’enchaîne. Pihu, oubliant d’éteindre la flamme sur la poêle, risque une chute alors que sa mère est toujours plongée dans un sommeil profond.