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Le film "Aida", du réalisateur Driss Mrini, projeté dimanche dans le cadre de la compétition officielle du long métrage de la 16ème édition du Festival national du film (FNF) de Tanger, se veut un hymne à la vie, l'espoir, l'amitié, ainsi qu'à la tolérance entre musulmans et juifs marocains, reflétée par une cohabitation harmonieuse au sein d'un orchestre de musique andalouse.
Cette œuvre cinématographique, écrite par l'écrivain et scénariste Abdelilah Hamdouchi, relate l'histoire d'Aida, une juive marocaine, professeur de musique à Paris, dont le corps est dévoré par une tumeur maligne.
Sachant qu'elle est condamnée, elle décide de rentrer au Maroc, son pays natal, à la recherche des souvenirs et des petits plaisirs ayant marqué son enfance, espérant retrouver de nouvelles raisons d'espérer et une source de motivation pour continuer d'y croire.
Elle s'est ainsi rendue dans les endroits où elle avait coulé une jeunesse heureuse, notamment Essaouira, la ville où elle avait vu le jour, savouré l'amitié et découvert pour la première fois la magie de la musique andalouse, sa première passion, devenue par la suite, le domaine de recherche dans lequel elle s'est spécialisée au cours de son parcours professionnel.
Cette quête du bien-être et de l'espoir, l'a menée à chercher son ami d'enfance musulman, Youssef, avec lequel elle avait vécu des moments de pur bonheur, qui sont restés gravés dans sa mémoire. Animés par une passion commune pour la musique, les deux enfants n'étaient pas seulement des camarades de jeux mais deux artistes en herbe qui partageaient une âme sensible et un esprit créatif.
Youssef, qui souffrait à son tour, d'un mal de vivre qui le plongeait dans la mélancolie et la détresse, va reprendre grâce à Aida, le contact qu'il avait perdu avec la musique, à cause de sa course effrénée pour réussir sa carrière d'architecte.
Préparant ensemble un concert de charité, au sein d'un orchestre de musique andalouse, composé d'artistes juifs et musulmans, Aida et Youssef vont s'entraider mutuellement, trouvant leur salut dans l'amitié et l'amour partagé pour la musique.
C'est là que le miracle se produit, et Aida, atteinte d'un cancer à un stade avancé, arrive à vaincre sa maladie, grâce à l'amitié et à la musique, qui a pénétré au plus profond de son âme, lui insufflant une nouvelle vie. Mais le bonheur a été de courte durée pour Aida, pour qui, le destin a caché une surprise de taille.
« Cette œuvre jette la lumière sur la cohabitation pacifique entre les juifs et les musulmans au Maroc, tout en mettant en avant l'apport du patrimoine judéo-marocain dans l'enrichissement de la culture marocaine et la consécration de la musique andalouse », précise Driss Mrini, le réalisateur du film.
Cette œuvre cinématographique, écrite par l'écrivain et scénariste Abdelilah Hamdouchi, relate l'histoire d'Aida, une juive marocaine, professeur de musique à Paris, dont le corps est dévoré par une tumeur maligne.
Sachant qu'elle est condamnée, elle décide de rentrer au Maroc, son pays natal, à la recherche des souvenirs et des petits plaisirs ayant marqué son enfance, espérant retrouver de nouvelles raisons d'espérer et une source de motivation pour continuer d'y croire.
Elle s'est ainsi rendue dans les endroits où elle avait coulé une jeunesse heureuse, notamment Essaouira, la ville où elle avait vu le jour, savouré l'amitié et découvert pour la première fois la magie de la musique andalouse, sa première passion, devenue par la suite, le domaine de recherche dans lequel elle s'est spécialisée au cours de son parcours professionnel.
Cette quête du bien-être et de l'espoir, l'a menée à chercher son ami d'enfance musulman, Youssef, avec lequel elle avait vécu des moments de pur bonheur, qui sont restés gravés dans sa mémoire. Animés par une passion commune pour la musique, les deux enfants n'étaient pas seulement des camarades de jeux mais deux artistes en herbe qui partageaient une âme sensible et un esprit créatif.
Youssef, qui souffrait à son tour, d'un mal de vivre qui le plongeait dans la mélancolie et la détresse, va reprendre grâce à Aida, le contact qu'il avait perdu avec la musique, à cause de sa course effrénée pour réussir sa carrière d'architecte.
Préparant ensemble un concert de charité, au sein d'un orchestre de musique andalouse, composé d'artistes juifs et musulmans, Aida et Youssef vont s'entraider mutuellement, trouvant leur salut dans l'amitié et l'amour partagé pour la musique.
C'est là que le miracle se produit, et Aida, atteinte d'un cancer à un stade avancé, arrive à vaincre sa maladie, grâce à l'amitié et à la musique, qui a pénétré au plus profond de son âme, lui insufflant une nouvelle vie. Mais le bonheur a été de courte durée pour Aida, pour qui, le destin a caché une surprise de taille.
« Cette œuvre jette la lumière sur la cohabitation pacifique entre les juifs et les musulmans au Maroc, tout en mettant en avant l'apport du patrimoine judéo-marocain dans l'enrichissement de la culture marocaine et la consécration de la musique andalouse », précise Driss Mrini, le réalisateur du film.