Autres articles
-
Colloque inaugural à Rabat de la 8ème Semaine de la langue espagnole au Maroc
-
Dix ans après sa disparition, le génie littéraire de Garcia Marquez perdure en Amérique latine
-
Le pianiste marocain Marouan Benabdallah enchante le public indien
-
De grosses pointures attendues à l’édition 2024
-
“Missa” : L'absurde dévoilé
Le Festival Cinelatino de Toulouse, l'un des plus grands rendez-vous du cinéma latino-américain en Europe, a attribué malgré le confinement son grand prix au film "Blanco en blanco", du réalisateur hispano-chilien Théo Court, le jury ayant délibéré en visioconférence. "Malgré la situation exceptionnelle que nous traversons, les compétitions du festival Cinelatino, Rencontres de Toulouse 2020 ont pu avoir lieu grâce à des visionnements en ligne et des délibérations en visioconférence", indique la direction du festival sur son site.
Les lauréats ont été couronnés avec quelques jours de retard, alors que l'édition 2020 initialement programmée du 20 au 29 mars avait dû être reportée à cause de la pandémie de coronavirus. Théo Court, qui a déjà reçu le prix du meilleur réalisateur à la dernière Mostra de Venise (Italie) pour cette production chilienne, également coproduite par la France, l'Espagne et l'Allemagne, avait précédemment réalisé deux courts métrages et un long métrage très remarqués.
Pour sa 31ème édition, le festival a choisi de mettre l'accent sur les "mouvements sociaux de grande ampleur" et les "bouleversements de la vie politique" qui agitent plusieurs pays d'Amérique Latine, en observant notamment leurs conséquences "sur la production, la diffusion et le contenu des oeuvres cinématographiques", souligne dans son édito le président du festival, Francis Saint Dizier. Le jury a attribué deux mentions spéciales, au film "Las Mil y una" de la réalisatrice argentine Clarisa Navas, et à "Ya no estoy aqui" du Mexicain Fernando Frias de la Parra.
En 2019, la direction de Cinelatino avait dénombré plus de 50.000 spectateurs, alors que quelque 170 films présentés dans différentes catégories(longs et courts métrages, fictions, documentaires, animation...) avaient été projetés lors de plus de 300 séances à travers cette région du sud-ouest de la France.
Les lauréats ont été couronnés avec quelques jours de retard, alors que l'édition 2020 initialement programmée du 20 au 29 mars avait dû être reportée à cause de la pandémie de coronavirus. Théo Court, qui a déjà reçu le prix du meilleur réalisateur à la dernière Mostra de Venise (Italie) pour cette production chilienne, également coproduite par la France, l'Espagne et l'Allemagne, avait précédemment réalisé deux courts métrages et un long métrage très remarqués.
Pour sa 31ème édition, le festival a choisi de mettre l'accent sur les "mouvements sociaux de grande ampleur" et les "bouleversements de la vie politique" qui agitent plusieurs pays d'Amérique Latine, en observant notamment leurs conséquences "sur la production, la diffusion et le contenu des oeuvres cinématographiques", souligne dans son édito le président du festival, Francis Saint Dizier. Le jury a attribué deux mentions spéciales, au film "Las Mil y una" de la réalisatrice argentine Clarisa Navas, et à "Ya no estoy aqui" du Mexicain Fernando Frias de la Parra.
En 2019, la direction de Cinelatino avait dénombré plus de 50.000 spectateurs, alors que quelque 170 films présentés dans différentes catégories(longs et courts métrages, fictions, documentaires, animation...) avaient été projetés lors de plus de 300 séances à travers cette région du sud-ouest de la France.