-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Des spécialistes, des universitaires et des activistes de la société civile prendront part à cette table ronde dont Mohamed Tozy, Najib Akesbi, Driss Abbadi, Driss Guerraoui et Abdelali Mestour, ainsi que des représentants de Centrale Danone, Sidi Ali et Afriquia, selon un communiqué de la FSJES-Ain Sebaa.
Selon les organisateurs, le but de cette table ronde est de faire une analyse à la fois sociologique, économique, politique et idéologique du mouvement de boycott au Maroc.
«L’Etat devrait-il intervenir dans le jeu du marché? », s’interrogent les organisateurs de cette rencontre scientifique. Et d’ajouter : «Le rôle régulateur des pouvoirs publics peut se justifier théoriquement par l’existence de défaillances du marché qui l’empêcheraient de fonctionner de manière optimale en termes de bien-être pour la société. Le cas de produits de grande consommation comme l'eau, le lait et les carburants dont les prix connaissent une hausse insupportable pour le commun des consommateurs a donné lieu à un mouvement de contestation social interpellant l'Etat ».
Selon l’argumentaire de cette table ronde, le phénomène du boycott « augmente du fait de l’évolution des consciences et des nouvelles facilités de communication. Grâce à Internet et aux réseaux sociaux, des consommateurs sensibilisés à certaines causes peuvent désormais partager un même mot d’ordre face à la même marque et ceci d’un bout à l’autre du globe ».