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Le bilan de réalisation fait ressortir un taux de 109% par rapport à ce qui a été convenu en 2004, s'est-elle félicitée, affirmant que le nombre de familles concernées par le programme est passé de 270.000 habitants en 2004 à 453.906 à fin 2020, après la mise à jour. La responsable a, également, relevé que grâce à ce programme, plus de 300.000 familles, soit 1,5 million d'habitants, ont vu leurs conditions de logement s'améliorer, 84% des bénéficiaires se sont dits satisfaits de l'emplacement des projets et 92,5% ont pu accéder à la propriété. De même, le taux de pauvreté a baissé de 58% parmi les catégories ciblées depuis le démarrage du programme. Côté contraintes, la ministre a notamment cité la multiplication du nombre des bénéficiaires, le défaut de paiement, le manque d'adhésion de certaines familles concernées, l'insuffisance des équipements de base, des difficultés de financement par les ressources budgétaires et la hausse du coût des travaux d'aménagement.
Afin d'améliorer les indicateurs du programme, il a été proposé de recourir aux unités de logement social et à bas coût réalisées par les promoteurs immobiliers publics et privés, l'accélération des opérations de transfert des familles et de réalisation des unités programmées, l'élaboration d'un programme complémentaire au profit de 81.200 ménages, l'instauration d'une nouvelle génération de contrats et la consolidation du partenariat public-privé, a-t-elle conclu.