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«Son cas ne relève pas des droits de l’Homme, mais de la politique. Personne ne l’a obligée à entamer sa grève de la faim. De même que personne ne l’a réprimée et personne ne l’a torturée «, a souligné M. Radi dans un entretien publié vendredi par le journal espagnol.
Cette personne a décidé de «recourir à la grève de la faim pour incommoder le gouvernement Espagnol et pour que ce dernier exerce des pressions sur le Maroc. C’est un chantage contre les deux pays. Elle veut prendre comme otage les deux pays», a-t-il assuré.
«Le Maroc ne se sent en rien coupable dans cette affaire. C’est elle qui a renié sa nationalité marocaine, personne ne l’a obligé à le faire. La coupable c’est elle», a encore affirmé le premier secrétaire de l’USFP.