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"Nous savons que le mouvement (de repli) des combattants a commencé", a affirmé mercredi à l'AFP Selahattin Demirtas, coprésident de la principale formation pro-kurde de Turquie, le Parti pour la paix et la démocratie (BDP).
M. Demirtas n'était toutefois pas en mesure de dire si le retrait avait débuté mercredi ou plus tôt. De l'avis de nombreux observateurs, le repli des combattants a commencé avant la date du 8 mai, qui n'a qu'une importance symbolique.
"Les combattants doivent sans doute profiter de la nuit pour se replier" vers les bases arrière du PKK dans le Kurdistan irakien, a indiqué le député kurde.
L'aile militaire du PKK, le HPG, a confirmé mardi que son retrait commencerait bien mercredi, comme annoncé, tout en mettant en garde Ankara contre toute "provocation" qui pourrait faire dérailler l'opération.
Les mouvements de troupes armées dans le sud-est anatolien, théâtre d'action du PKK, "préparent le terrain pour des provocations et des affrontements", a souligné le HPG.