
-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Selon plusieurs sources espagnoles, Madrid travaille déjà avec Rabat pour fixer la date idoine de la rencontre entre Pedro Sànchez et son homologue marocain Saâd Eddine El Othmani.
"C'est le Ramadan maintenant au Maroc et avec la visite du roi Felipe aux Etats-Unis, ce n'est peut-être pas le moment idéal, mais nous voulons que le Maroc soit officiellement le premier pays visité par le président du gouvernement pour maintenir la tradition", a indiqué une source espagnole bien informée.
La visite aura probablement lieu après le retour du roi Felipe et de sa femme Letizia des Etats-Unis où ils rencontreront Donald Trump préalablement ou après le sommet européen à Bruxelles les 28 et 29 juin auquel Pédro Sànchez participera.
Certaines sources diplomatiques critiquent le manque d'innovation de ce dernier, affirmant que le Maroc ne devrait pas être la première étape internationale du périple du chef du gouvernement. Toutefois, les relations avec Rabat sont essentielles en matière de lutte contre le terrorisme ou de contrôle des flux migratoires, des domaines dans lesquels les deux gouvernements collaborent avec succès depuis des années.
Il convient de rappeler que les anciens chefs de gouvernement Felipe González, José María Aznar, José Luis Rodríguez Zapatero et Mariano Rajoy avaient effectué leurs premières visites officielles au Maroc.