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"Les investisseurs internationaux sont très désireux de rechercher des opportunités d'investissement dans les pays en développement en raison des perspectives de rendement et de rentabilité à long terme que ces pays peuvent offrir", a affirmé M. Buenaventura dans une interview accordée à la MAP à l'occasion de la Conférence internationale organisée par l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) en marge de la 47ème réunion annuelle de l’Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV) du 17 au 19 octobre à Marrakech.
Et de souligner que le développement économique des pays émergents est très étroitement lié à la capacité de financer l'économie, d’où la nécessité d'établir un cadre réglementaire adapté pour ces capitaux étrangers qui soit en adéquation avec les besoins des économies en développement qui reposent sur les questions sociales, de transition verte, et de neutralité carbone, rapporte la MAP.
C'est seulement en faisant correspondre les impératifs de développement et les préférences des investisseurs que la chaîne d'investissement d'un pays comme le Maroc et bien d'autres seront en mesure de tirer parti de ce flux d'investissement à la fois mondial mais qui peut réellement aider et promouvoir les économies locales, a-t-il expliqué.
Par ailleurs, M. Buenaventura a mis l'accent sur les liens forts entre les marchés espagnol et marocain, et entre les superviseurs de ces marchés, notant que l’AMMC et la CNMV sont étroitement engagées dans une coopération bilatérale technique et réglementaire et dans un partenariat plus global.