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Le studio américain Warner Bros a répondu mardi aux familles de victimes d'une tuerie perpétrée en 2012 qui critiquaient le film "Joker", affirmant que le personnage n'était pas dépeint comme un héros. Cinq membres de familles de victimes de la fusillade d'Aurora (Colorado), lors de laquelle un jeune homme de 24 ans avait ouvert le feu durant la projection du film "The Dark Knight Rises", ont publié mardi une lettre ouverte au studio.
Dans ce document publié par plusieurs sites spécialisés, ils expriment leur inquiétude à l'idée qu'un film puisse mettre en avant un personnage comme le Joker, qui figurait dans le long-métrage "The Dark Knight Rises". "Quand nous avons appris que Warner Bros sortait un film intitulé « Joker » qui présentait ce personnage et son histoire avec de la compassion, cela nous a interpellé", ont écrit les auteurs de la lettre adressée au PDG du studio, Ann Sarnoff. Le film évoque la transformation du Joker, humoriste dépressif malmené par la société qui prend finalement son destin en main pour devenir un personnage machiavélique et violent. Les familles ne demandent pas à la dirigeante de retirer le film ou de le modifier, mais Warner Bros n'en a pas moins réagi, affirmant que "ni le personnage fictionnel du Joker ni le film ne (soutenaient) en aucune façon la violence réelle". "Il n'est pas dans les intentions du film, de ceux qui l'ont fait ou du studio de présenter ce personnage comme un héros", a ajouté Warner Bros au sujet de "Joker", qui sort le 4 octobre en salles aux Etats-Unis.
Dans la lettre, les familles demandent à Ann Sarnoff et à Warner de cesser toute contribution à des hommes politiques qui font obstacle à un renforcement de la législation sur les armes. Ils appellent également le studio et ses dirigeants à user de leur influence pour pousser le Congrès américain à légiférer en la matière. Elles réclament également qu'ils contribuent à des fonds de soutien aux victimes ou des programmes pédagogiques.
Dans sa réponse, Warner Bros assure avoir effectué des dons à des associations de victimes et soutenu le vote de lois qui restreignent la circulation des armes.
Dans ce document publié par plusieurs sites spécialisés, ils expriment leur inquiétude à l'idée qu'un film puisse mettre en avant un personnage comme le Joker, qui figurait dans le long-métrage "The Dark Knight Rises". "Quand nous avons appris que Warner Bros sortait un film intitulé « Joker » qui présentait ce personnage et son histoire avec de la compassion, cela nous a interpellé", ont écrit les auteurs de la lettre adressée au PDG du studio, Ann Sarnoff. Le film évoque la transformation du Joker, humoriste dépressif malmené par la société qui prend finalement son destin en main pour devenir un personnage machiavélique et violent. Les familles ne demandent pas à la dirigeante de retirer le film ou de le modifier, mais Warner Bros n'en a pas moins réagi, affirmant que "ni le personnage fictionnel du Joker ni le film ne (soutenaient) en aucune façon la violence réelle". "Il n'est pas dans les intentions du film, de ceux qui l'ont fait ou du studio de présenter ce personnage comme un héros", a ajouté Warner Bros au sujet de "Joker", qui sort le 4 octobre en salles aux Etats-Unis.
Dans la lettre, les familles demandent à Ann Sarnoff et à Warner de cesser toute contribution à des hommes politiques qui font obstacle à un renforcement de la législation sur les armes. Ils appellent également le studio et ses dirigeants à user de leur influence pour pousser le Congrès américain à légiférer en la matière. Elles réclament également qu'ils contribuent à des fonds de soutien aux victimes ou des programmes pédagogiques.
Dans sa réponse, Warner Bros assure avoir effectué des dons à des associations de victimes et soutenu le vote de lois qui restreignent la circulation des armes.