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Comme l’a confirmé Bank Al Maghrib, le taux de la régression du stock de devise au cours des 3 premiers mois de 2012 a atteint 11,82% à tel point que les avoirs extérieurs du Royaume ne peuvent couvrir qu’entre 3 et 4 mois d'importations seulement, a fait savoir le parlementaire USFP. L'origine de cette descente aux enfers, s’explique par le déficit de plus en plus intenable de la balance commerciale, car le Maroc importe davantage qu'il n'exporte.
Aussi les transferts des Marocains résidant à l'étranger et les recettes touristiques qui étaient au-dessous des prévisions ainsi que la hausse de la facture énergétique sont derrière cette situation, a-t-il souligné.
Pour sa part, dans une question adressée au ministre de l’Education nationale, Khadija Yamlahi s’est interrogée sur la valeur ajoutée du programme d’urgence et sur la politique que compte mener le ministère pour gérer ce dossier. L’objectif étant de combler le déficit en termes d’établissements dédiés à l’enseignement primaire. Tout en annonçant que la question du Groupe socialiste est restée sans réponse, elle a tenu à souligner que la situation financière des collectivités locales et de la société civile qui font partie des intervenants dans ce secteur ne leur permettra pas d’assumer ce rôle.
La situation actuelle de l’enseignement primaire est catastrophique et connaît de grandes disparités entre les villes et les campagnes ainsi qu’entre les secteurs public et privé, a fait savoir Khadija Yamlahi.
Dans le cadre d’un point d’ordre, Rachida Benmassoud a attiré l’attention du secrétaire du bureau de la Chambre qui devait présenter devant les députés le contenu détaillé de la décision de la Cour suprême qui avait confirmé la compatibilité entre le mandat de parlementaire et celui de président de la Région tels le cas de Said Chbaatou. Dans ce sens, elle a tenu à préciser que chaque projet de loi doit contenir une clause stipulant la non-rétroactivité de cette loi.
Larbi Bouhamida