Autres articles
-
"Alchimie III". Une ode à la musique marocaine par Les Voix du chœur
-
Festival de Cannes. La réalisatrice marocaine Asmae El Moudir membre du jury "Un certain regard"
-
Rabat à l’heure du 8ème Festival "Camera Kids"
-
La 4ème édition du Festival national des amateurs du théâtre à Marrakech
-
Tanger vibre au rythme des mélodies envoûtantes du jazz
Contribuer à la préservation de la culture saharienne, tout en reflétant les potentialités de la province d’Aousserd, tels étaient les objectifs du 2ème Festival de Tiris, a indiqué le président du comité d’organisation, Ahmed Abdallaoui.
M. Abdellaoui a, lors d’une émission diffusée par la radio régionale de Dakhla, souligné que ce Festival, qui s’est déroulé du 20 au 22 mai dans la province d’Aousserd, a connu plusieurs activités en vue de promouvoir les différentes composantes du patrimoine local des habitants de cette province, connue pour ses spécificités culturelles, artistiques et ses paysages panoramiques.
Le Festival organisé sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi a été placé sous le signe “Tiris: espace de la culture hassanie et rempart de l’intégrité territoriale”. Il a vu la participation de délégations représentant la Mauritanie, le Mali, les Iles Canaries et l’Andalousie, ainsi que des journalistes marocains et étrangers. Le programme de la manifestation comprenait des courses de dromadaires, une exposition sur les projets de l’INDH, l’artisanat local et les élevages dans la région, un espace dédié aux contes populaires et une tente de la poésie, sans parler des soirées artistiques animées par des troupes de la musique hassanie.
Le terme Tiris, d’origine berbère, est utilisé dans la culture hassanie chez les habitants des provinces du Sud, pour désigner les vastes régions sahariennes d’Aousserd, qui étaient autrefois de vastes terres fertiles, attirant les nomades des régions limitrophes, avant de se transformer en lieux désertiques, sous l’effet de la sécheresse qui a décimé la faune et la flore de ces étendues ces dernières années.
M. Abdellaoui a, lors d’une émission diffusée par la radio régionale de Dakhla, souligné que ce Festival, qui s’est déroulé du 20 au 22 mai dans la province d’Aousserd, a connu plusieurs activités en vue de promouvoir les différentes composantes du patrimoine local des habitants de cette province, connue pour ses spécificités culturelles, artistiques et ses paysages panoramiques.
Le Festival organisé sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi a été placé sous le signe “Tiris: espace de la culture hassanie et rempart de l’intégrité territoriale”. Il a vu la participation de délégations représentant la Mauritanie, le Mali, les Iles Canaries et l’Andalousie, ainsi que des journalistes marocains et étrangers. Le programme de la manifestation comprenait des courses de dromadaires, une exposition sur les projets de l’INDH, l’artisanat local et les élevages dans la région, un espace dédié aux contes populaires et une tente de la poésie, sans parler des soirées artistiques animées par des troupes de la musique hassanie.
Le terme Tiris, d’origine berbère, est utilisé dans la culture hassanie chez les habitants des provinces du Sud, pour désigner les vastes régions sahariennes d’Aousserd, qui étaient autrefois de vastes terres fertiles, attirant les nomades des régions limitrophes, avant de se transformer en lieux désertiques, sous l’effet de la sécheresse qui a décimé la faune et la flore de ces étendues ces dernières années.