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Un projet de texte en ce sens a été présenté par l'Australie et le Luxembourg aux autres membres du Conseil. Il devait être étudié lundi par les représentants permanents adjoints des Quinze.
Plus de deux millions de Syriens, des femmes et enfants pour l'essentiel, ont fui leur pays depuis le début du soulèvement contre le président Bachar Al Assad en mars 2011, et des millions d'autres sont déplacés à l'intérieur du pays. Seuls douze organisations humanitaires ont aujourd'hui l'aval du gouvernement syrien pour travailler dans le pays.
Des diplomates indiquent que la Russie, alliée de Damas, a fait preuve d'"engagement constructif" sur cette déclaration. Le représentant russe à l'Onu, Vitali Tchourkine, a fait savoir récemment que Moscou ne soutiendrait aucun texte sur l'ouverture de l'aide transfrontalière sans l'accord de Damas. Une déclaration présidentielle, contrairement à une résolution, n'est pas contraignante.