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La pluralité culturelle, vecteur de paix et d’avenir partagé
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La Maison de la poésie de Tétouan lance sa nouvelle saison culturelle
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A Lyon, la culture marocaine millénaire s'invite dans la plus grande esplanade d’Europe
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Les causes nationales dans la poésie du Malhoun au centre d'une conférence dans le cadre du Festival "Malhouniyat"
Avec Le Ciel sous nos pas, paru chez Albin Michel, Leïla Bahsaïn signe un premier roman aux allures de conte moderne où elle évoque le parcours d’une jeune marocaine, depuis son enfance dans son pays natal à son arrivée en France. Décomplexée vis- à-vis des hommes et de l’Occident, la narratrice va vivre mille aventures, telle une Zazie moderne, entre rires et larmes ! Et briser un tabou : le pays des Lumières n’est pas la partie rêvée des droits de la femme maghrébine. C’est un livre sur les femmes, sur l’émancipation, sur le monde moderne.
La sélection de la 7ème édition du Prix de la littérature arabe met à l’honneur la diversité de la littérature arabe, à travers les romans d’écrivains marocains, algériens, égyptiens, libanais et syriens.
Depuis sa création par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a été remis au Libanais Jabbour Douaihy (2013), à l’Égyptien Mohamed al-Fakharany (2014), au Saoudien Mohammed Hasan Alwan (2015), à l’Irakienne Inaam Kachachi (2016), à l’Irakien Sinan Antoon (2017) et à l’Anglo-Égyptien Omar Robert Hamilton (2018) pour son roman La ville gagne toujours (Gallimard).
Le Prix sera annoncé et remis à l’Institut du monde arabe (IMA) à l’occasion d’une cérémonie qui se déroulera le 6 novembre prochain, en présence de Jack Lang, président de l’IMA.