-
L'Hôpital Militaire d'Instruction Mohammed V réalise avec succès quatre interventions de pointe pour l'ablation de tumeurs au niveau des reins et de la prostate
-
Les FAR déploient trois hôpitaux militaires de campagne dans les provinces d'Azilal, d'Al Haouz et de Midelt
-
Journée de sensibilisation sur les dangers de la route au profit des étudiants et jeunes conducteurs
-
L’OMS veut encadrer la médecine traditionnelle sans l’opposer à la science
Les syndicats des chauffeurs de taxis, des chauffeurs et propriétaires des bus de transport urbain ainsi que le syndicat national des propriétaires et chauffeurs des camions affiliés à la Confédération démocratique du travail ont tous exprimé leur ras-le-bol quant aux pratiques de responsables et fonctionnaires au sein dudit centre.
Abus de pouvoir, chantage, mauvais traitement des usagers, clientélisme, des accusations, entre autres, qui sont portées contre le chef du centre d’immatriculation, l’inspecteur de transport ainsi qu’un fonctionnaire chargé des différents documents.
D’après Mohammed Lacktib, secrétaire de l’union locale de la CDT, les professionnels sont la cible de pratiques illégales à chaque fois qu’ils demandent l’enregistrement de leurs engins sur le registre des transporteurs. Le responsable syndical a mis à l’index l’inspecteur de transport qui traite les demandes d’autorisations exceptionnelles de transport de manière sélective et clientéliste.
A rappeler que le centre d’immatriculation des voitures à Essaouira fut au cœur d’une grosse affaire de falsification des données des cartes grises. Certains fonctionnaires avaient, à ce sujet, fait l’objet de poursuites judiciaires et de sanctions administratives.












