-
La rupture du traitement du TDAH interroge les priorités du système de santé
-
Amina Bouayach : Le CNDH, une plateforme centrale au sein du système national des droits de l'Homme au Maroc
-
Conseil de l’Europe : La loi sur les peines alternatives, un tournant historique dans le système judiciaire marocain
-
Mohamed Abdennabaoui : Avec l'adoption des peines alternatives, le Maroc rejoint les systèmes législatifs modernes

Au cours de ce sit-in, le bâtonnier du Barreau de Casablanca Abdellatif Bouachrine a affirmé que Jamal Serhane s’adresserait aux avocats comme « s’ils étaient des jardiniers dans sa propre villa », ce qui est inacceptable et inadmissible. En audience privée, les hommes en noir croient toujours qu’ils sont dans un commissariat de police plutôt que dans le bureau d’un juge d’instruction. Le comble est que ce même Serhane tronquerait, à en croire la même source, les dossiers de la manière qui l’arrangerait le mieux avant de les remettre aux avocats. Cependant, on regrette que ces membres du corps judiciaire aient usé d’injures dans leurs slogans, brandis lors du sit-in d’hier qui a connu la participation des Barreaux de Rabat, Safi, Marrakech, entre autres. Ces derniers ont, en outre, adressé des lettres de solidarité à leurs confrères de Casablanca.
En attendant que les choses reprennent leur cours normal, le Barreau de Casablanca va se réunir incessamment pour décider des formes de lutte à entreprendre pour faire aboutir ses revendications.