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La sélection des 6 à 8 ouvrages finalistes sera annoncée début septembre, précise un communiqué de l’IMA. Les ouvrages retenus seront soumis aux membres du jury, composé d’éminentes personnalités du monde des médias, des arts et de la culture, ainsi que de spécialistes du monde arabe, qui se réuniront ensuite pour désigner le (ou la) lauréat(e). Contrairement aux années précédentes, l’Institut n’a pas précisé de date pour la remise du Prix, probablement en raison du contexte actuel de pandémie mondiale. Depuis sa création par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a été remis au Libanais Jabbour Douaihy (2013), à l’Égyptien Mohamed al-Fakharany (2014), au Saoudien Mohammed Hasan Alwan (2015), à l’Irakienne Inaam Kachachi (2016), à l’Irakien Sinan Antoon (2017), à l’Anglo-Égyptien Omar Robert Hamilton (2018) et à l’Egyptien Mohammed Abdelnabi (2019), pour son roman La Chambre de l’araignée (Actes Sud / Sindbad).
Le Prix 2020 a été décerné au Soudanais Abdelaziz Baraka Sakin pour son roman Les Jango (Editions Zulma). En 2017, une mention spéciale avait été attribuée à l’écrivaine marocaine Yasmine Chami pour son roman “Mourir est un enchantement”. En 2019, une autre Marocaine, Leïla Bahsaïn, était en lice pour ce Prix avec son roman “Le Ciel sous nos pas”, paru chez Albin Michel.