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Ces envahisseurs qui, même s'ils sont souvent inoffensifs, effrayent les habitants, particulièrement les femmes et les enfants. Ils n'ont pas l'habitude de voir des hommes barbus traverser l'avenue Mekka et s’interrogent sur les raisons de la passivité des autorités devant ce phénomène, particulièrement pendant l'été.
Mais le grand nombre de vagabonds que la ville a accueillis cette année, amène les habitants de Laâyoune à se poser des questions sur l'existence des services sociaux dont le rôle doit être d’héberger ces laissés-pour-compte.
Les populations estiment que ces exclus sont recueillis dans des villes où leur présence met à mal les touristes et conduits vers d’autres villes où leurs proches ne risquent pas de venir les chercher.
Ces vagabonds ont pris l'habitude de se rassembler, de nuit, dans les places les plus fréquentées de la ville, en quête de nourriture.
Ce n'est pas la première fois que Libé attire l'attention des autorités sur ce phénomène, mais leur passivité nous amène à en reparler, dans l'espoir qu'une attention particulière sera accordée à ce problème.