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L’auteur de ces vers en prose est l’écrivain poète marocain Abdellatif Laâbi. L’année 2009 a vu son œuvre consacrée par la prestigieuse Académie Goncourt. Une œuvre issue d’une vie riche en événements et en expériences que Laâbi a merveilleusement su traduire en production symbolique. Une consécration qui vient à point sans précipitation ni lobbying…une reconnaissance dans la durée pour celui qui écrit : « Que la pente soit ascendante ou descendante ne me préoccupe pas outre mesure. Le territoire que j'arpente est celui de la mémoire conjuguée à tous les temps. La mémoire transmise qui m'a constitué bien sûr, mais aussi celle que je crée par intuitions successives. Dans le cours de la durée, j'ai du mal à être sédentaire. Car je suis un homme de l'entre-deux : langues, cultures, époques, espaces géographiques et mentaux. Je nomadise par nécessité au départ, par goût ensuite. Entre les deux rives de mon être, je me dois d'être un passeur ».









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