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“La voie de l'ennemi”, un film noir entre rédemption et damnationVendredi 9 Mai 2014
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William Garnett (Forest Whitaker avec un look à la Malcolm X) vient de passer 18 ans derrière les barreaux pour le meurtre d'un shérif adjoint. En prison, il s'est converti à l'islam qui l'aide à canaliser sa colère. Son rêve : avoir une vie tranquille avec sa nouvelle petite amie Teresa dans un patelin du Nouveau-Mexique. Son agent de probation, l'actrice britannique Brenda Blethyn, est bien décidée à ce que ça marche. Mais le shérif Bill Agati (Harvey Keitel) ne supporte pas de voir Garrett s'en sortir alors qu'il a tué son adjoint, pas plus que son ancien complice (Luis Guzman). Le film est inspiré d'un classique du film noir français, "Deux hommes dans la ville", avec Alain Delon et Jean Gabin, écrit et réalisé en 1973 par José Giovanni, lui-même passé par la case prison, ce qui marquait son œuvre. Mais ce n'est pas un remake. "Je ne trouvais pas d'intérêt à faire un film déjà très réussi, qui était très fort à l'époque contre la peine de mort", expliquait récemment Rachid Bouchareb, réalisateur français d'origine algérienne, devant la presse au Festival de Berlin où le film était en compétition. "Il ne reste rien du film si ce n'est l'idée des trois personnages principaux", a poursuivi le cinéaste salué précédemment à Cannes avec "Indigènes" en 2006 (prix d'interprétation collectif pour ses cinq acteurs) qui rendait hommage aux soldats africains oubliés de l'armée française. En 2009 à Berlin, il était venu avec "London River", film sur la tolérance pour lequel l'acteur malien Stigui Kouyate avait été récompensé. AFP
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