

-
Un colloque international sur le "Dialogue des cultures et des civilisations" à Fès
-
Ernest Urtasun : L'Espagne devrait boycotter l'Eurovision si Israël y participe
-
Lancement de la 23ème édition du Grand prix national de la presse
-
Appel à la valorisation du patrimoine architectural et de la mémoire de la ville d’Azemmour
Les chiffres publiés par Netflix ne font pas l’objet de vérification par un tiers, à la différence des mesures d’audience pour la télévision traditionnelle. Adaptation des romans historiques de l’Américaine Julia Quinn, “Bridgerton” se situe en 1813 en Angleterre et met en scène les intrigues de la bonne société britannique, avec une touche très moderne. Le langage, la musique, l’accent féministe et la distribution, avec de très nombreux comédiens issus de la diversité, cassent les codes de la série historique pour rendre le propos accessible au plus grand nombre. La série est d’ailleurs devenue un petit phénomène de pop culture, largement alimenté par les réseaux sociaux, beaucoup d’internautes s’amusant à recréer des scènes en costumes en travaillant leur accent anglais. Sans surprise, Netflix a annoncé, le 21 janvier, avoir commandé une seconde saison de “Bridgerton”.
Selon le site spécialise FlixPatrol, la série occupait encore jeudi le troisième rang mondial au nombre de visionnages quotidiens sur Netflix, derrière “Fate: The Winx Saga”, adaptation de la série animée “Club Winx”, et l’incontournable “Lupin”. Concernant la série française, la plateforme estime qu’elle pourrait avoir été vue par 70 millions de comptes d’ici au 5 février, c’est-à-dire durant ses quatre premières semaines d’exploitation, ce qui la placerait sur la troisième marche du podium.