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Ces dernières années, une mini-vague exaltante de succès réalisés par des femmes a néanmoins déjoué les statistiques. "Mister Babadook" (2014) de Jennifer Kent et "A Girl Walks Home Alone at Night" (2015) d'Ana Lily Amirpou, en particulier, ont hissé le film d'épouvante dans une nouvelle dimension. "Il y a une génération gâchée de femmes très talentueuses qui ne travaillent pas parce que malheureusement, ou heureusement pour les hommes, c'est une industrie sexiste", a affirmé à l'AFP Stacy Title, réalisatrice de "The Bye Bye Man". Son film, qui sort vendredi aux Etats-Unis, suit la recette traditionnelle du genre avec lacérations, éclaboussures, bonds d'effroi, adolescents terrifiés et un sadique créateur de chaos.
Situé dans le Wisconsin des années 1990, le long-métrage suit les aventures de trois étudiants après leur emménagement dans une vieille maison hors du campus, où ils sont rapidement tourmentés par le "Bye Bye Man". Cette entité surnaturelle a déjà terrorisé d'innocentes victimes quelques décennies plus tôt.
Le scénario est inspiré du livre "The President's Vampire: Strange-but-true Tales of the United States of America" (Le vampire du président: contes étranges mais vrais des Etats-Unis d'Amérique), publié en 2005 par l'historien de l'occulte Robert Damon Schneck. L'écrivain a assuré que cette histoire portait sur l'expérience réelle d'un ami du Wisconsin qui, après une partie de Ouija, lui a dit avoir rencontré un être surnaturel maléfique.
A l'affiche du film figurent des stars bien établies comme Faye Dunaway et Carrie-Anne Moss, ainsi que Douglas Smith dans le rôle de l'adolescent mal dans sa peau qui enquête sur la légende du "Bye Bye Man". "Je n'ai pas été attiré par ce film parce que c'était une réalisatrice mais ça a été un angle intéressant une fois que j'étais intéressé et pendant le processus des auditions", a dit l'acteur canadien à l'AFP. "Elle a vraiment été respectueuse artistiquement. Elle voulait répéter et avoir de longues conversations pour avoir notre avis", a-t-il ajouté.