-
Tiznit: "Tiflwine" célèbre les traditions amazighes ancestrales
-
La 1ère édition du Congrès africain de pédiatrie, du 10 au 12 janvier courant à Casablanca
-
Chtouka-Aït Baha: Plus de 60 exposants au Salon provincial de l'artisanat
-
L'Université Euromed de Fès publie un premier lot d’ouvrages et de revues dans la prestigieuse maison d’édition L’Harmattan
-
Région de l’Oriental : 4.588 entreprises créées à fin octobre 2024 (OMPIC)
Les services de la police judiciaire de Fès ont ainsi ouvert une enquête pour tenter d’élucider ce crime ; le cadavre retrouvé était dans un état de décomposition avancé. Pour pouvoir identifier la victime et mener leur enquête sur des indices solides, les fins limiers ont remis une touffe de cheveux au laboratoire de la police scientifique de Casablanca pour analyse et donc identification de la victime.
Comment la police avait-elle pu découvrir ce crime horrible ? Pour un concours de circonstances, un marchand ambulant est entré par hasard dans la villa et a été submergé par des odeurs nauséabondes. Poussé par sa curiosité, il a découvert plusieurs sacs en plastique. A sa grande surprise, des membres d’un cadavre décomposé étaient rangés soigneusement dans ces sacs.
Sur le champ, le marchand a alerté les policiers puis les a conduits sur les lieux du crime. D’après les premières constatations, plusieurs coups à l’arme blanche ont été assénés à la victime, ce qui laisse supposer l’éventualité d’un crime passionnel ou d’une vengeance dramatique.