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Dans le site historique de Chellah, la chanteuse et violoniste iranienne de renom, Aïda Nosrat, a été au sommet de son art, en livrant une prestation brillante mettant à l’honneur l'héritage musical persan, à l’occasion de la 19ème édition du Festival Mawazine-rythmes du monde.
Devant un public captivé, Aïda Nosrat a fait résonner les mélodies persanes avec une émotion profonde qui touche le fin fond du cœur et de l’âme, plongeant l’assistance dans une atmosphère mystique et poétique.
Dans ce voyage musical, chaque morceau interprété était une invitation à découvrir les subtilités et la profondeur de la musique iranienne, teintée de passion, de nostalgie et de spiritualité.
Avec son violon, Aïda Nosrat semble raconter une histoire, évoquant des émotions intenses et des époques anciennes. Sa virtuosité a été remarquable faisant vibrer le public venu apprécier cette véritable expérience musicale sensorielle.
Ses chansons sont des hymnes à la paix, à l'amour, à l'émancipation féminine et à la liberté des peuples, faisant de sa musique un puissant vecteur de changement et de réflexion.
Entourés des vestiges historiques de Chellah, les spectateurs ont été témoins d'un moment magique où la musique transcende les barrières culturelles et temporelles. Son répertoire varié, mêlant compositions traditionnelles et créations contemporaines, rend hommage à un héritage musical persan riche en émotions et expressions artistiques.
Sa performance inédite a non seulement mis en lumière la richesse et la beauté de la musique et la culture persanes, mais également souligné le pouvoir universel de l'art pour unir les communautés.
Aïda Nosrat commence sa carrière musicale en intégrant une école de musique dès son plus jeune âge. Elle entreprend l’apprentissage du violon et fait partie de l’Orchestre symphonique de Téhéran de 1999 à 2006.
Elle étudie la musicologie à l’université des sciences et de la pratique. Avec son époux, Babak Amir Mobasher, également musicien, elle forme le groupe Manushan en 2006, développant son propre style de musique. Membre de l’atelier des artistes en exil, Aïda Nosrat prépare son quatrième album.
Devant un public captivé, Aïda Nosrat a fait résonner les mélodies persanes avec une émotion profonde qui touche le fin fond du cœur et de l’âme, plongeant l’assistance dans une atmosphère mystique et poétique.
Dans ce voyage musical, chaque morceau interprété était une invitation à découvrir les subtilités et la profondeur de la musique iranienne, teintée de passion, de nostalgie et de spiritualité.
Avec son violon, Aïda Nosrat semble raconter une histoire, évoquant des émotions intenses et des époques anciennes. Sa virtuosité a été remarquable faisant vibrer le public venu apprécier cette véritable expérience musicale sensorielle.
Ses chansons sont des hymnes à la paix, à l'amour, à l'émancipation féminine et à la liberté des peuples, faisant de sa musique un puissant vecteur de changement et de réflexion.
Entourés des vestiges historiques de Chellah, les spectateurs ont été témoins d'un moment magique où la musique transcende les barrières culturelles et temporelles. Son répertoire varié, mêlant compositions traditionnelles et créations contemporaines, rend hommage à un héritage musical persan riche en émotions et expressions artistiques.
Sa performance inédite a non seulement mis en lumière la richesse et la beauté de la musique et la culture persanes, mais également souligné le pouvoir universel de l'art pour unir les communautés.
Aïda Nosrat commence sa carrière musicale en intégrant une école de musique dès son plus jeune âge. Elle entreprend l’apprentissage du violon et fait partie de l’Orchestre symphonique de Téhéran de 1999 à 2006.
Elle étudie la musicologie à l’université des sciences et de la pratique. Avec son époux, Babak Amir Mobasher, également musicien, elle forme le groupe Manushan en 2006, développant son propre style de musique. Membre de l’atelier des artistes en exil, Aïda Nosrat prépare son quatrième album.