-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
L’écrivaine franco-marocaine raconte comment dans le quartier de Hay El Hassani, à Casablanca, après la mort d’un vieux gardien d’immeuble, Essabâr, un commissaire soupçonne un empoisonnement et cherche à établir les liens existant entre les habitants. Habituellement décerné au printemps mais remis pour cause de Covid, ce prix était présidé cette année par Jean-Luc Coatalem, journaliste et écrivain, connu pour son oeuvre particulièrement ouverte sur le monde et distingué par de nombreux prix.
L’association “Les Lorientales” qui organise ce prix est ancrée à Lorient dont la naissance, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, est étroitement liée à la Compagnie des Indes orientales, fondée par Colbert. Pour son président-fondateur Omar Taleb, “Les Lorientales” a pour objectif de faire connaître les cultures, la musique et les traditions du monde oriental, de favoriser les échanges entre deux mondes si proches.
Cinq livres finalistes avaient été retenus pour cette édition 2020. “Je ne reverrai plus le monde” (Actes Sud), d’Ahmet Altan, journaliste et écrivain turc actuellement emprisonné, “Egypte 51 (Editions Elyzad) de l’égypto-libanaise Yasmine Khlat, “Notre ailleurs” (Actes Sud) de la germano-saoudienne Rasha Khayat, “Ougarit” (éditions Inculte) du franco-libanais Camille Ammoun, et “Qui a tué Essabâr?” (Editions Henry) d’Imane Robelin.