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L’inauguration par le fils de Mohamed Salem Ould Salek, dirigeant du «Polisario» qui a occupé le poste de soi-disant «ministre des affaires étrangères» pendant deux décennies, d'une nouvelle clinique en Equateur, a suscité des polémiques dans les camps de Tindouf où le commun des séquestrés peine à survivre, compte tenu des conditions sociales difficiles.
Cette nouvelle clinique et celle du Panama sont le fruit des investissements d’Ould Salek provenant des aides humanitaires internationales destinées aux habitants des camps de Tindouf.
Le Forum d'appui à l'autonomie dans les camps de Tindouf, «Forsatin», a dénoncé ces pratiques, notant que «l'argent réservé par les Algériens aux camps de Tindouf, n’est pas destiné aux simples habitants, mais aux membres choyés de la direction du Polisario ».
Pour sa part, l'Association sahraouie de défense des droits de l'Homme a de nouveau mis en lumière la réalité de l'aide humanitaire passée en contrebande dans les camps de Tindouf, soulignant qu’elle est utilisée par les membres de la direction du Polisario pour amasser des richesses et mettre en place des mégaprojets.
A cet égard, Ramdan Massoud, président de cette association, a déclaré que "l'association a condamné à plusieurs reprises ces pratiques illégales menées par les dirigeants du "Polisario" depuis des décennies, qui détournent l'aide humanitaire destinée aux habitants des camps ».
Il a ajouté que l’association qu’il préside a présenté à la communauté internationale des preuves irréfutables sur l'implication des dirigeants du Polisario dans le détournement de l'aide octroyée par l'Union européenne.
Appelant les instances internationales et les pays donateurs à auditer les nouveaux riches que sont devenus les dirigeants du Polisario, il a rappelé que le pseudo-chef de la prétendue diplomatie du Polisario n’était en quittant le Maroc qu’un étudiant, devenu, du jour au lendemain, un investisseur international à la tête d’une fortune colossale.
Ahmadou El-Katab