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«Le Festival international du film de Marrakech (FIFM) invite au Maroc l’esprit de la cinéphilie pour y provoquer les contacts les plus féconds, et la réflexion la plus approfondie sur le 7ème art. D’année en année, s’est bâti un édifice que nous avons souhaité harmonieux, et qui aujourd’hui, en ce dixième anniversaire, se présente à vous avec quelque fierté », a déclaré SAR le Prince Moulay Rachid à l’occasion du 10ème FIFM dont le coup d’envoi a été donné, vendredi 3, au Palais des congrès de Marrakech. En présence du gotha du cinéma mondial.
Le Festival international du film de Marrakech doit "continuer de relever le défi de faire émerger de nouveaux talents et d'offrir au monde, l'image juste du Maroc d'aujourd'hui, la patrie des créateurs", a ajouté SAR.
Saluant la vitalité et la richesse de la cinématographie française, berceau du 7ème art, à laquelle cette édition rend hommage, SAR a rappelé qu’elle "constitue, par excellence, l'enfance même du cinéma depuis qu'un train entrant dans la gare de la Ciotat a donné pour toujours le départ du spectacle cinématographique", a-t-il déclaré.
Pour son dixième anniversaire, le Festival a, en effet, choisi de rendre hommage au cinéma français, après avoir célébré tour à tour le Maroc, l'Espagne, l'Italie, l'Egypte, la Grande-Bretagne et la Corée du Sud. Un hommage tout en couleurs et dont de nombreuses personnalités et stars nationales et mondiales ont pu apprécier la profondeur et la portée, samedi soir.
Animée par le duo Fayrouz Karawani et Alex Taylor, cette soirée a été marquée par la présence d’une importante délégation composée de réalisateurs et acteurs français représentant divers générations et genres. Conduite par le cinéaste Costa Gavras, président de la Cinémathèque française, qui recevait ce soir-là la fameuse Etoile d’or des mains de Martin Scorsese. Aux côtés d’une Catherine Deneuve toujours rayonnante et fidèle au Maroc.
Cette cérémonie a aussi été l’occasion pour les organisateurs de rendre un vibrant hommage à celui qui fut le premier directeur de ce grand rendez-vous : Daniel Toscan du Plantier, décédé trois ans seulement après son lancement. Et dont les efforts ont largement contribué au rayonnement de ce qui convient désormais de considérer comme un des grands rendez-vous du cinéma mondial.
Dans le registre des projections de films en compétition officielle, c’est à "Donor" qu’est revenu l’honneur d’ouvrir le bal. Quelques heures plus tôt. Signée du réalisateur philippin Mark Meily, cette production aborde une question très sensible, celle du trafic d'organes aux Philippines. Un des pays les plus touchés par ce fléau aussi inquiétant en Chine et en Inde.
Cette année, le Festival met en compétition officielle 15 longs-métrages qui concourent pour "l'Etoile d'or". Cette édition, qui se tient sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, consacre aussi, et pour la première fois, un concours de courts-métrages dont les festivaliers apprécieront les premières couleurs.
Le Festival s’achèvera samedi prochain.
Le Festival international du film de Marrakech doit "continuer de relever le défi de faire émerger de nouveaux talents et d'offrir au monde, l'image juste du Maroc d'aujourd'hui, la patrie des créateurs", a ajouté SAR.
Saluant la vitalité et la richesse de la cinématographie française, berceau du 7ème art, à laquelle cette édition rend hommage, SAR a rappelé qu’elle "constitue, par excellence, l'enfance même du cinéma depuis qu'un train entrant dans la gare de la Ciotat a donné pour toujours le départ du spectacle cinématographique", a-t-il déclaré.
Pour son dixième anniversaire, le Festival a, en effet, choisi de rendre hommage au cinéma français, après avoir célébré tour à tour le Maroc, l'Espagne, l'Italie, l'Egypte, la Grande-Bretagne et la Corée du Sud. Un hommage tout en couleurs et dont de nombreuses personnalités et stars nationales et mondiales ont pu apprécier la profondeur et la portée, samedi soir.
Animée par le duo Fayrouz Karawani et Alex Taylor, cette soirée a été marquée par la présence d’une importante délégation composée de réalisateurs et acteurs français représentant divers générations et genres. Conduite par le cinéaste Costa Gavras, président de la Cinémathèque française, qui recevait ce soir-là la fameuse Etoile d’or des mains de Martin Scorsese. Aux côtés d’une Catherine Deneuve toujours rayonnante et fidèle au Maroc.
Cette cérémonie a aussi été l’occasion pour les organisateurs de rendre un vibrant hommage à celui qui fut le premier directeur de ce grand rendez-vous : Daniel Toscan du Plantier, décédé trois ans seulement après son lancement. Et dont les efforts ont largement contribué au rayonnement de ce qui convient désormais de considérer comme un des grands rendez-vous du cinéma mondial.
Dans le registre des projections de films en compétition officielle, c’est à "Donor" qu’est revenu l’honneur d’ouvrir le bal. Quelques heures plus tôt. Signée du réalisateur philippin Mark Meily, cette production aborde une question très sensible, celle du trafic d'organes aux Philippines. Un des pays les plus touchés par ce fléau aussi inquiétant en Chine et en Inde.
Cette année, le Festival met en compétition officielle 15 longs-métrages qui concourent pour "l'Etoile d'or". Cette édition, qui se tient sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, consacre aussi, et pour la première fois, un concours de courts-métrages dont les festivaliers apprécieront les premières couleurs.
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